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jeudi 5 juin 2014

Un monde nommé désir


Au commencement était la société de consommation. Tout alors était affaire de transaction. Il fallait créer le désir pour susciter l’achat et conclure la transaction. L’entreprise était séduction.

Le temps a passé. Le désir mimétique et la fascination pour l’objet se sont affaiblis. L’individu aspire désormais à autre chose. La question de la confiance en l’avenir est revenue au premier plan. Elle a trouvé, dans la crise environnementale, son expression la plus complète.

Cette séquence qui va de Fukuyama à Fukushima est celle de l’âge de l’accès théorisé par Jérémy Rifkin.


Une ère nouvelle qui voit, peu à peu, l’entreprise redécouvrir l’autre et revisiter leurs relations. Des relations dont les ressorts et la finalité sont désormais définis et enrichis d’un commun accord.

Suivez-moi sur Twitter : @SERGEPEREZ_LAC

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